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Margot C
Justine
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Message  Charline Lun 21 Nov - 18:49

Texte pour le suivi du groupe programmation – réunion du 8 novembre 2011

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation pour réfléchir, délimiter, préciser et enfin définir le sujet de la JE de cette année qui a pour thème la matérialité ou l'aspect matériel des archives.
Au cours de ces réunions, les membres du groupe programmation ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches pour la préparation de la journée d'étude. Chaque membre de ce groupe a pu exprimer ses idées et les confronter à celles des autres.
Le groupe programmation devait préparer trois points pour le suivi d'aujourd'hui :
confirmer la date de la journée d'étude en vérifiant qu'elle n'est pas en concurrence avec un autre événement scientifique ou autre ;
élaborer un titre, une problématique et un plan ;
proposer une liste d'intervenants potentiels.

Tout d'abord, après vérification, la date du 10 février 2012 peut être validée (ne pose pas de problème particulier). Elle ne pas en concurrence avec un événement aux Archives nationales, aux archives départementales de Maine et Loire, aux archives municipales d'Angers, à l'Université d'Angers, à l'Association des étudiants et diplômés en archivistique d'Angers.

Le point de départ de notre réflexion a donc été l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 15 juillet 2008 modifiant la loi du 3 janvier 1979 (reprise dans leCode du patrimoine, partie législative, livre II : archives, titre Ier : régime général des archives) définit les archives comme « l'ensemble des documents, quels que soient leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support (matériel), produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité ».

La différence de définition se situe au niveau du support. Entre 1979 et 2008, le terme de « matériel » a disparu. L’idée est d’élargir la définition en la mettant en rapport avec la dématérialisation croissante des archives.
La nouvelle définition des archives donnée par la loi de 2008 reconnaît l'existence de différents supports d'archives. Les archives n'ont donc plus seulement des supports matériels mais aussi des supports immatériels.
Les membres de la commission des Affaires culturelles sur le projet de loi relatif aux archives ont démontré la nécessité «d' actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ».
« Le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

La problématique qui a été retenue est « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».
La problématique nous a orienté vers un titre.

Ensuite, après avoir établi la problématique, nous avons réfléchi à un titre pour la journée d’étude. Le groupe programmation propose « Matérialité et archives : quels enjeux pour quel avenir ? » et « La matérialité des archives ou le support en question » comme titres de la journée d'étude.
Une unanimité ou une forte majorité autour d’un seul titre ne s’étant pas dégagée, nous avons décidé de vous soumettre deux titres.

Les membres du groupe ont construit un plan en trois parties pour répondre à cette problématique. Les trois axes du plan tentent d'aborder les divers aspects du concept de matérialité (ou d'aspect matériel) des archives. Le plan s'appuie sur les indications que nous a fournies M. Marcilloux lors de la présentation de la journée d'étude. Assez rapidement, trois grandes thématiques se sont dégagées de nos réflexions communes.

Charline

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Message  Justine Lun 21 Nov - 20:17

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour réfléchir, délimiter, préciser et définir le sujet de la journée d’étude pour l’année 2012.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches pour la préparation de cette journée. En effet, les objectifs ont été de vérifier que la date de la journée d’étude ne soit pas en concurrence avec d’autres événements scientifiques ou autres ; d’élaborer une titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels.

Tout d’abord, l’équipe a cherché sur différents sites comme l’AAF, les archives départementales de Maine-et-Loire, les archives municipales d’Angers, les Archives nationales, l’AEDAA pour valider la date de la journée d’étude.

Le point de départ de notre réflexion a donc été l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 15 juillet 2008 modifiant la loi du 3 janvier 1979 (reprise dans leCode du patrimoine, partie législative, livre II : archives, titre Ier : régime général des archives) définit les archives comme « l'ensemble des documents, quels que soient leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support (matériel), produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité ».

La différence de définition se situe au niveau du support. Entre 1979 et 2008, le terme de « matériel » a disparu. L’idée est d’élargir la définition en la mettant en rapport avec la dématérialisation croissante des archives.

La nouvelle définition des archives donnée par la loi de 2008 reconnaît l'existence de différents supports d'archives. Les archives n'ont donc plus seulement des supports matériels mais aussi des supports immatériels.

Les membres de la commission des Affaires culturelles sur le projet de loi relatif aux archives ont démontré la nécessité «d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ».
« Le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

Puis, après multiples débats, la problématique, qui a été retenue, est « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est posé à nous : trouver un titre. Nous avons longuement réfléchi à un titre. Mais une forte majorité autour d’un seul titre ne s’étant pas dégagée, nous avons décidé de vous soumettre, dans un premier temps, deux titres. Grace au suivi et à l’aide de M. Marcilloux, nous avons finalement dégagé le titre suivant : « Archives : matérialités en question ».

Enfin, la construction d’un plan ne fut pas un exercice de tout repos. Cependant, nous avons fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties.

La liste des intervenants fut rapidement trouvé et soumis à M. Marcilloux qui nous aiguilla sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.

Justine

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Message  Justine Lun 21 Nov - 20:18

Oups, j'ai oublié d'écrire:

J'ai fini de travailler sur le texte

Justine

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Message  Margot C Mar 22 Nov - 10:27

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour réfléchir, délimiter, préciser et définir le sujet de la journée d’étude pour l’année 2012.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches pour la préparation de cette journée. En effet, les objectifs ont été de vérifier que la date de la journée d’étude ne soit pas en concurrence avec d’autres événements scientifiques ou autres (en vérifiant sur différents sites comme celui de l'AAF, les archives nationales, l'AEDAA, les archives départementales de Maine-et-Loire, les archives municipales d'Angers) ; d’élaborer une titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris comme point de point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 15 juillet 2008 modifiant la loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, livre II : archives, titre Ier : régime général des archives) définit les archives comme « l'ensemble des documents, quels que soient leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support (matériel), produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité ».

La différence de définition se situe au niveau du support. Entre 1979 et 2008, le terme de « matériel » a disparu. L’idée est d’élargir la définition en la mettant en rapport avec la dématérialisation croissante des archives. La nouvelle définition des archives donnée par la loi de 2008 reconnaît l'existence de différents supports d'archives.
Les membres de la commission des Affaires culturelles chargée du projet de loi relatif aux archives ont démontré la nécessité «d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ».
« Le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

Puis, après multiples débats, la problématique, qui a été retenue, est « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est posé à nous : trouver un titre. Nous avons longuement réfléchi à un titre. Mais une forte majorité autour d’un seul titre ne s’étant pas dégagée, nous avons décidé de vous soumettre, dans un premier temps, deux titres. Grâce au suivi et à l’aide de M. Marcilloux, nous avons finalement dégagé le titre suivant : « Archives : matérialités en question » et la problématique de départ a évolué vers « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Puis, l'équipe programmation a du réfléchir à un plan pour cette journée. Son élaboration n'a pas été une tâche facile. En effet, de nombreuses idées ont émergé et il a fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin que le plan puisse être réalisé en une seule journée. Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vu venu du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants fut rapidement trouvé et soumis à M. Marcilloux qui nous aiguilla sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.
Aujourd'hui (22 novembre 2011), les contacts ont été lancés et l'équipe attend des réponses que l'on espère positive !!!

Voilà pour mes modifications. Je me suis permise d'enlever le passage sur l'aspect matériel/immatériel. On avait eu un gros débat sur ces deux termes et nous en étions arrivé à la conclusion que l'aspect immatériel n'était pas très bien approprié. J'ai essayé d'expliquer cela dans notre texte mais c'était trop compliqué !!! Sinon, il y avait des petits soucis de point de vu. Dans un paragraphe on parlait du groupe comme "nous avons fait ceci ou cela" et dans le paragraphe d'après on disait "le groupe prog' a fait ceci ou cela". Du coup j'ai uniformisé en disant toujours "le groupe prog' ceci" "les membres du groupe cela" etc. Mais si vous préférez qu'on dise "nous" il n'y a pas de problème. Au suivant de juger ... Wink

J'ai fini de travailler sur le texte.

Margot C

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Message  Aude Mar 22 Nov - 10:53

Salut à tous,
Je voulais juste vous faire remarquer que vous m'avez oubliée dans la liste au début du texte.
Je travaillerais sur le texte demain je pense.
Bonne journée à tous

Aude

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Message  Aude Mer 23 Nov - 8:34

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Aude Pouce, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour réfléchir, délimiter, préciser et définir le sujet de la journée d’étude pour l’année 2012.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches pour la préparation de cette journée. En effet, les objectifs ont été de vérifier que la date de la journée d’étude ne soit pas en concurrence avec d’autres événements scientifiques ou autres (en vérifiant sur différents sites comme celui de l'AAF, les archives nationales, l'AEDAA, les archives départementales de Maine-et-Loire, les archives municipales d'Angers) ; d’élaborer untitre, une problématique, un plan et de proposer une liste d’intervenants potentiels.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris comme point de point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 15 juillet 2008 modifiant la loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, livre II : Archives, titre Ier : Régime général des archives) définit les archives comme « l'ensemble des documents, quels que soient leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support (matériel), produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité ».

La différence de définition se situe au niveau du support. Entre 1979 et 2008, le terme de « matériel » a disparu. L’idée est d’élargir la définition en la mettant en rapport avec la dématérialisation croissante des archives. En effet la nouvelle définition des archives donnée par la loi de 2008 reconnaît l'existence de différents supports d'archives.
Les membres de la commission des Affaires culturelles chargée du projet de loi relatif aux archives ont démontré la nécessité «d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ».
« Le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

Puis, après multiples débats, la problématique, qui a été retenue, est « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est imposé : trouver un titre. Nous avons longuement réfléchi à celui-ci. Mais une forte majorité autour d’un seul titre ne s’étant pas dégagée, nous avons décidé de vous soumettre, dans un premier temps, deux titres. Grâce au suivi et à l’aide de M. Marcilloux, nous avons finalement dégagé le titre suivant : « Archives : matérialités en question » et la problématique de départ a évolué vers « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Puis, l'équipe programmation a du réfléchir à un plan pour cette journée. Son élaboration n'a pas été une tâche facile. En effet, de nombreuses idées ont émergé et il a fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin que le plan puisse être réalisé en une seule journée. Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vue venus du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants fut rapidement trouvé et soumis à M. Marcilloux qui nous aiguilla sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.
Le 22 novembre 2011, les contacts ont été lancés et l'équipe a déjà reçue quelques réponses encourageantes!!!

Voilà, j'ai corrigée quelques fautes, mais pour moi le texte est bien comme cela.
Au prochain de juger !

J'ai fini de travailler sur ce texte.

Aude

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Message  Ségolène Mer 23 Nov - 10:34

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Aude Pouce, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour définir, délimiter et préciser le sujet de l’édition 2012 de la journée d’étude.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches. Ainsi, l’objectif a été d’abord de vérifier que la date de la journée d’étude ne soit pas en concurrence avec d’autres évènements, scientifiques ou autres (en vérifiant sur différents sites comme celui de l'Association des archivistes français, ou celui des archives départementales du Maine-et-Loire). En parallèle, il a fallu élaborer un titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels puis prendre contact avec eux.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris comme point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, Livre II : Archives, Titre Ier : Régime général des archives) définissait les archives comme « l'ensemble des documents, quels que [fussent] leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support matériel (…) ». La loi du 15 juillet 2008 a supprimé toute référence à l’aspect « matériel » du support dans cette définition. L’idée était ainsi d’élargir cette dernière, dans un contexte de dématérialisation croissante des archives.
Les membres de la commission des Affaires culturelles du Sénat chargée du projet de loi de 2008 relatif aux archives ont en effet démontré la nécessité « d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ». Ils ont ainsi noté que « le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

Après de multiples débats, une problématique a été retenue : « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est alors imposée : trouver un titre. Le groupe programmation y a longuement réfléchi. Mais n’étant pas parvenu à une proposition unanime, il a préféré soumettre deux titres aux autres étudiants de M2 dans un premier temps. Grâce à la réunion de suivi et à l’aide de M. Marcilloux, le titre suivant a finalement été dégagé: « Archives : matérialités en question ». La problématique de départ est quant à elle devenue : « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? »

Puis, l'équipe programmation a dû élaborer un plan pour cette journée d’étude. De nombreuses idées ont émergé. Il a donc fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin qu’un seul jour suffise au planning prévisionnel ! Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vue sur la matérialité, venus du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants a rapidement été trouvée et soumise à M. Marcilloux qui a aiguillé l’équipe programmation sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun de ses membres a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.
Le 22 novembre 2011, les contacts ont été lancés et le groupe a déjà reçu quelques réponses encourageantes!!!

J'ai fini de travailler sur le texte, que j'ai essayé de raccourcir car je le trouve un peu long. Je me demande s'il est vraiment nécessaire de détailler autant l'avis du Sénat...

Ségolène

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Message  nico Mer 23 Nov - 13:25

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Aude Pouce, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour définir, délimiter et préciser le sujet de l’édition 2012 de la journée d’étude.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches. Ainsi, l’objectif a été d’abord de vérifier que la date de la journée d’étude ne soit pas en concurrence avec d’autres évènements, scientifiques ou autres (en vérifiant sur différents sites comme celui de l'Association des archivistes français, ou celui des archives départementales du Maine-et-Loire). En parallèle, il a fallu élaborer un titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels puis prendre contact avec eux.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris comme point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, Livre II : Archives, Titre Ier : Régime général des archives) définissait les archives comme « l'ensemble des documents, quels que [fussent] leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support matériel (…) ». La loi du 15 juillet 2008 a supprimé toute référence à l’aspect « matériel » du support dans cette définition. L’idée était ainsi d’élargir cette dernière, dans un contexte de dématérialisation croissante des archives.
Les membres de la commission des Affaires culturelles du Sénat chargée du projet de loi de 2008 relatif aux archives ont en effet démontré la nécessité « d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ». Ils ont ainsi noté que « le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ».

Après de multiples débats, une problématique a été retenue : « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est alors imposée : trouver un titre. Le groupe programmation y a longuement réfléchi. Mais n’étant pas parvenu à une proposition unanime, il a préféré soumettre deux titres aux autres étudiants de M2 dans un premier temps. Grâce à la réunion de suivi et à l’aide de M. Marcilloux, le titre suivant a finalement été dégagé: « Archives : matérialités en question ». La problématique de départ est quant à elle devenue : « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? »

Puis, l'équipe programmation a dû élaborer un plan pour cette journée d’étude. De nombreuses idées ont émergé. Il a donc fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin que le planning prévisionnel puisse être réalisé dans le temps imparti ! Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vue sur la matérialité, venus du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants a rapidement été trouvée et soumise à M. Marcilloux qui a aiguillé l’équipe programmation sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun de ses membres a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.
Le 22 novembre 2011, les contacts ont été lancés et le groupe a déjà reçu quelques réponses encourageantes!!!

J'ai modifié un peu la phrase autour du planning prévisionnel.
Sinon cela me va.
J'ai fini de travailler sur le texte

nico

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Message  Margot G. Mer 23 Nov - 14:23

Voici les corrections que je propose :

Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Aude Pouce, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour définir, délimiter et préciser le sujet de l’édition 2012 de la journée d’étude.

Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches. Ainsi, l’objectif a été d’abord le premier objectif a été de vérifier que si la date de la journée d’étude ne soit n'entrait pas en concurrence avec d’autres évènements, scientifiques ou autres (en vérifiant sur différents sites comme celui de l'Association des archivistes français, ou celui des archives départementales du Maine-et-Loire). En parallèle, il a fallu élaborer un titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels puis prendre contact avec eux.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris comme pour point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.
La loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, Livre II : Archives, Titre Ier : Régime général des archives) définissait les archives comme « l'ensemble des documents, quels que [fussent] leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support matériel (…) ». La loi du 15 juillet 2008 a supprimé toute référence à l’aspect « matériel » du support dans cette définition. L’idée était ainsi d’élargir cette dernière, dans un contexte de dématérialisation croissante des archives.

Les membres de la commission des Affaires culturelles du Sénat chargée du projet de loi de 2008 relatif aux archives ont en effet démontré la nécessité « d’actualiser cette définition générale afin de traduire l’évolution des supports d’archives, qui ne sont plus désormais seulement matériels ». Ils ont ainsi noté que « le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ». Pourtant, après de nombreux débats, le groupe de programmation s'est accordé sur le fait que le support est toujours matériel.

Après de multiples débats, une problématique a été retenue : « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est alors imposée : trouver un titre. Le groupe programmation y a longuement réfléchi. Mais n’étant pas parvenu à une proposition unanime, il a préféré soumettre deux titres aux autres étudiants de M2 dans un premier temps. Grâce à la réunion de suivi et à l’aide de M. Marcilloux, le titre suivant a finalement été dégagé: « Archives : matérialités en question ». La problématique de départ est quant à elle devenue : « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Puis, l'équipe programmation a dû élaborer un plan pour cette journée d’étude. De nombreuses idées ont émergées. Il a donc fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin que le planning prévisionnel puisse être réalisé dans le temps imparti ! Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vue sur la matérialité, venus du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants a rapidement été trouvée établie et soumise à M. Marcilloux qui a aiguillé l’équipe programmation sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun de ses des membres du groupe a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.

Le 22 novembre 2011, les contacts ont été lancés et le groupe a déjà reçu quelques réponses encourageantes!!!

Voici ce que ça donne :


Plusieurs réunions ont été nécessaires au groupe programmation, composé de Margot Charon, Ségolène Cuerq, Otilia Farcasiu, Margot Georges, Nicolas Huerta, Aude Pouce, Charline Revardeau et Justine Wallet, pour définir, délimiter et préciser le sujet de l’édition 2012 de la journée d’étude.
Au cours de ces réunions, les membres du groupe ont réfléchi ensemble à leurs différentes tâches. Ainsi, le premier objectif a été de vérifier si la date de la journée d’étude n’entrait pas en concurrence avec d’autres évènements(en vérifiant sur différents sites comme celui de l'Association des archivistes français, ou celui des archives départementales du Maine-et-Loire). En parallèle, il a fallu élaborer un titre, une problématique, un plan et proposer une liste d’intervenants potentiels puis prendre contact avec eux.

Une fois la date du vendredi 10 février 2012 validée, l'équipe a pris pour point de départ de sa réflexion l’évolution de la loi sur les archives entre 1979 et 2008.

La loi du 3 janvier 1979 (reprise dans le Code du patrimoine, partie législative, Livre II : Archives, Titre Ier : Régime général des archives) définissait les archives comme « l'ensemble des documents, quels que [fussent] leur date, leur lieu de conservation, leur forme et leur support matériel (…) ». La loi du 15 juillet 2008 a supprimé toute référence à l’aspect « matériel » du support dans cette définition. L’idée était ainsi d’élargir cette dernière, dans un contexte de dématérialisation croissante des archives. Ils ont ainsi noté que « le recours croissant aux technologies numériques et le développement de l’administration électronique placent la politique des archives face à de nouveaux enjeux : il s’agit d’adapter les méthodes de collecte et de conservation de supports de plus en plus diversifiés d’information, mais également de saisir cette opportunité d’ouverture et de valorisation accrues des archives ». Pourtant, après de nombreux débats, le groupe de programmation s'est accordé sur le fait que le support est toujours matériel.

Après de multiples débats, une problématique a été retenue : « Faut-il repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Une nouvelle tâche s’est alors imposée : trouver un titre. Le groupe programmation y a longuement réfléchi. Mais n’étant pas parvenu à une proposition unanime, il a préféré soumettre deux titres aux autres étudiants de M2 dans un premier temps. Grâce à la réunion de suivi et à l’aide de M. Marcilloux, le titre suivant a finalement été dégagé: « Archives : matérialités en question ». La problématique de départ est quant à elle devenue : « Comment repenser la matérialité des archives et ses enjeux dans un contexte de diversification des supports ? ».

Puis, l'équipe programmation a dû élaborer un plan pour cette journée d’étude. De nombreuses idées ont émergées. Il a donc fallu effectuer un choix parmi celles-ci afin que le planning prévisionnel puisse être réalisé dans le temps imparti ! Le groupe a fini par trouver un consensus autour d’un plan en trois parties mettant en avant différents points de vue sur la matérialité, venus du monde des archives mais aussi des bibliothèques, des sciences de l'information et de l'art.

Enfin, la liste des intervenants a rapidement été établie et soumise à M. Marcilloux qui a aiguillé l’équipe programmation sur la manière de les contacter. Une fois l'appel à communication rédigé, chacun des membres du groupe a choisi un intervenant potentiel afin de prendre contact avec lui.

Le 22 novembre 2011, les contacts ont été lancés et le groupe a déjà reçu quelques réponses encourageantes!!!


Je pense que le texte pourrait être à la première personne du pluriel plutôt qu'à la troisième du singulier, peut-être faudrait il le préciser à Jean François.

J'ai fini de travailler sur le texte

Margot G.

Messages : 49
Date d'inscription : 22/10/2011

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